Oublions la crise de 2008. Celle qui s’annonce est bien plus sévère. L’Agence internationale de l’énergie (AIE), dans son rapport annuel publié ce matin, a dû remonter à la Seconde Guerre mondiale, et même à la grippe espagnole en 1918, pour trouver trace d’une chute aussi vertigineuse…
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